Si vous en aviez le choix, préféreriez-vous tuer votre frère, ou le subir toute une vie dans une lenteur interminable ?
L’enfant a grandi. Il a fini par comprendre que ni le père ni la mère ne condamneraient le frère. S’il faut mettre fin à cette histoire, ce sera à moi de m’en charger.
Après “Les petits fruits” (Paulette éditrice), La Sensation des fleurs et Faire l’équilibre, la performance Laisse mourir le frère met fin à une série littéraire et musicale autour des dynamiques relationnelles d’une famille – plus ou moins – comme les autres.
Avec le soutien de La Grange (UNIL), du Festival Fécule et de l’Atelier Shakespeare.
Photos 1 à 4 © Dylan Roth